The Köln Concert - Part IIa
La cadette. D'un jour. Tout ce qui semblait pesant avec l'autre est aujourd'hui plus léger avec toi. Un jour vous sépare. A l'époque une éternité. Toujours l'hiver pourtant. Et quel hiver. Il était donc normal que tu arrives après. Après la première. En deuxième donc. En seconde en l'occurence. La joie de découvrir l'euphorie, de se lancer dans le simple, de ne plus se poser de questions. Comme quoi, ça valait la peine d'attendre. Pour toi d'abord, pour moi ensuite. Pas de doute. A aucun moment. La certitude. Si on en revient aux dates, la tienne a existé d'abord tout en venant après. Je veux dire par rapport à moi. Finalement, si, c'est compliqué. Plus qu'il n'y paraît. Tant mieux, sinon à quoi bon écrire, si tout va bien, si tout est bleu - ah non pas le bleu.
Venir le jour d'après. Un jour trop tard, tout est déjà fini, il n'y a plus d'écho, en tout cas pas là où tu te trouves, et c'est peut-être aussi bien, ça ne te pèsera pas, à toi au moins. Tu n'auras pas à te poser toutes ces questions, enfin pas tout de suite. Ou alors, c'est à cause de moi. Tu n'entends pas ses cris, tu n'entends pas ses notes. Pas un son pour troubler ton sommeil. Moi, je flotte toujours entre deux eaux à ce moment, ce sera plus que du réchauffé, mais souvent c'est meilleur.
C'est donc ça le hasard. Trois cent soixante-cinq jours et cinq milliards d'humains et puis là juste deux, un jour les sépare, deux jours se suivent, deux êtres se suivent. Dans la vie. Dans ma vie. A peu de choses près. Quelques heures donc. L'excitation pour moi. J'aime ces hasards. En général. Mais surtout là. Toi aussi tu y a pris goût. Pas forcément celui-là. Les deux qui comptent. Le plus. Toujours. Aujourd'hui. J'aurais pu faire exprès. Contrôler les papiers. Mais je ne contrôle rien. Rarement. Sinon pas de hasard. Et là, c'est quand même mieux.
La cadette, si on peut avoir une soeur d'un jour de plus. Soeurs pour moi. Par le hasard. Un cordon ombilical aléatoire mais tenace. Deux accrocs au creux de ma main. Indélébiles. Petites cicatrices qui donnent le sourire. Souvenirs qui ne me quitteront plus. A moins de me couper les mains. Et la tête. Alouette. C'est toi qui as gagné. Finalement. Comme quoi le deuxième n'est pas toujours perdant. Une belle victoire. Sans revanche. Un bel esprit. Que des vainqueurs. Chacun sa place. Une place de choix.
Du bonheur, du bonheur, il en manquait hier. Encore un petit peu plus, un tout petit peu, s'il te plait. Là. Voilà. C'est bien, non. C'est tellement bien. Avec toi. Voilà, je l'ai dit. C'est écrit.
Venir le jour d'après. Un jour trop tard, tout est déjà fini, il n'y a plus d'écho, en tout cas pas là où tu te trouves, et c'est peut-être aussi bien, ça ne te pèsera pas, à toi au moins. Tu n'auras pas à te poser toutes ces questions, enfin pas tout de suite. Ou alors, c'est à cause de moi. Tu n'entends pas ses cris, tu n'entends pas ses notes. Pas un son pour troubler ton sommeil. Moi, je flotte toujours entre deux eaux à ce moment, ce sera plus que du réchauffé, mais souvent c'est meilleur.
C'est donc ça le hasard. Trois cent soixante-cinq jours et cinq milliards d'humains et puis là juste deux, un jour les sépare, deux jours se suivent, deux êtres se suivent. Dans la vie. Dans ma vie. A peu de choses près. Quelques heures donc. L'excitation pour moi. J'aime ces hasards. En général. Mais surtout là. Toi aussi tu y a pris goût. Pas forcément celui-là. Les deux qui comptent. Le plus. Toujours. Aujourd'hui. J'aurais pu faire exprès. Contrôler les papiers. Mais je ne contrôle rien. Rarement. Sinon pas de hasard. Et là, c'est quand même mieux.
La cadette, si on peut avoir une soeur d'un jour de plus. Soeurs pour moi. Par le hasard. Un cordon ombilical aléatoire mais tenace. Deux accrocs au creux de ma main. Indélébiles. Petites cicatrices qui donnent le sourire. Souvenirs qui ne me quitteront plus. A moins de me couper les mains. Et la tête. Alouette. C'est toi qui as gagné. Finalement. Comme quoi le deuxième n'est pas toujours perdant. Une belle victoire. Sans revanche. Un bel esprit. Que des vainqueurs. Chacun sa place. Une place de choix.
Du bonheur, du bonheur, il en manquait hier. Encore un petit peu plus, un tout petit peu, s'il te plait. Là. Voilà. C'est bien, non. C'est tellement bien. Avec toi. Voilà, je l'ai dit. C'est écrit.
0 Vous avez toujours quelque chose à dire :
Kommentar veröffentlichen
<< Home