meinetwegen

tentative de rattrapage, espace d'exploration, d'échange et d'expérimentation, tout par la langue, rien que la langue, slurp.

01 September 2006

Une minute interactive


Qui dit blog, dit nombrilisme démagogique (mais non, je ne vais pas adopter le ton de l'ami Zantrope), alors voici un petit jeu pour vous amis lecteurs.
Vous suivez assidument les aventures de Georges Meunier depuis quelques semaines. Ces aventures, je ne vous le cache pas, touchent à leur fin. Certains ont déjà décelé un certain essoufflement de l'auteur, qui, faut-il le rappeler, est asthmatique.
Aussi, pour pimenter le tout et relancer la machine infernale avant de passer à un tout autre type de fiction spontanée, voici ce que je vous propose.
Le dénouement de l'histoire est arrêté mais je vous le réserve pour plus tard.
En commentant ce message (je rappelle qu'il s'agit de vous exprimer dans les piapias ci-dessous), vous allez pouvoir suggérer un scénario de fin pour la sixième partie de "Une minute en moins" que je m'appliquerai à rédiger en respectant le ton initial. A vous donc de proposer votre fin en quelques mots et vous pourrez ensuite lire son développement. Vous avez donc une semaine pour me soumettre dans les piapias vos idées, et ensuite nous verrons bien...

5 Vous avez toujours quelque chose à dire :

  • A 2/9/06 12:08, Blogger Maître a eu le culot d'écrire

    Tu sais ce qu'il te dis l'ami zantrope?

     
  • A 2/9/06 14:28, Anonymous Anonym a eu le culot d'écrire

    Alors t'as plus d'idée? Georges est indigne de ta fin.
    ouh la fille !
    Meunier tu dors?

     
  • A 2/9/06 14:29, Anonymous Anonym a eu le culot d'écrire

    Je vais m'empresser de laisser une proposition de fin, j'aime tellement écrire

     
  • A 2/9/06 14:31, Anonymous Anonym a eu le culot d'écrire

    Voilà ma proposition:
    Georges ouvrit la porte et: "Nom de Dieu, qu'est-ce que tu fous là?"....
    Bon courage

     
  • A 2/9/06 15:57, Blogger Maître a eu le culot d'écrire

    Georges Meunier s'engouffra dans le hall de son immeuble et fut attiré par une note de voisinage sur le tableau de service : "Cherche minute disparue ce matin. Forte récompense. Michel 4ème droite."
    Sacré nom d'une pipe en bois de hongrie s'écria Georges au seuil de l'implosion vagale. Il monta l'escalier à grandes foulées et se retrouva devant la porte de Michel. La porte des wc communs était ouverte sur le palier et Georges fut attiré par des feuilles de salade et un steak qui flottaient dans la cuvette. Prenant son courage à deux mains il frappa.

     

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