Air connu
Là, ça vibre sous mes pieds, ce n'est plus la tempête, l'orage est épuisé, le sol a bien trop bu, ça vibre et toi tu trembles, tu ne me reconnais plus. Il parlait d'un retour, maintenant qu'il est là, je n'avais pas rêvé, tu vois, tout pourrait s'effondrer dans un grand fracas, comme celui tout à l'heure qui déchirait le ciel au-dessus de nos têtes, nues et trempées. On y va ? On crie, on chante, on éclabousse de joie ? Commence, toi, après tout, c'est ton triomphe, je chanterai avec toi, je sauterai dans les airs pour ne plus sentir que le sol vibre sous moi. Vas-y, ris, n'aie plus peur de sourire, c'était si simple que ça, jubilons, profitons, c'est un retour qu'on fête, la flamme est repartie, en avant dans la nuit, nous courons comme des elfes, on nous verra plus tard. Tu trembles toujours. Mais le sol s'est calmé, lui. Pourquoi ne ris-tu pas ? C'est à toi de montrer, montrer comment on fait, de me dire ce qu'il faut, je ferai tout pareil, je te suis jusqu'au bout.
Allons-y, c'est maintenant, il faut recommencer, je te rattrape au refrain, il faut qu'on nous entende. Et merci d'être resté.
Allons-y, c'est maintenant, il faut recommencer, je te rattrape au refrain, il faut qu'on nous entende. Et merci d'être resté.
2 Vous avez toujours quelque chose à dire :
A 25/8/07 16:24, Anonym a eu le culot d'écrire
cher Yvan.... ( c'est un prénom que je choisissais à l'adolescence pour la métamorphose...).....
à bientôt donc, F.K
A 26/8/07 17:10, Yvan Nigelstadel a eu le culot d'écrire
Comme quoi la métamorphose n'engendre pas que des scarabées. Ravi, trois fois ravi !
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